5 bonnes raisons de faire un bilan de compétences (même si vous ne voulez pas vous reconvertir)
5 bonnes raisons de faire un bilan de compétences (même si vous ne voulez pas vous reconvertir)
A force de voir passer dans les médias des histoires de chef comptable devenu boulanger et de responsable marketing aujourd’hui institutrice, on pourrait finir par croire qu’un bilan de compétences se termine toujours par une reconversion radicale, un changement de vie spectaculaire. Détrompez-vous, c’est avant tout un outil qui permet de mieux se connaître et d’être mieux dans son job. On partage avec vous 5 bonnes raisons de vous lancer, même si vous n’avez pas l’intention de tout plaquer.
Prendre conscience de ses compétences
Quand on fait le même métier ou qu’on travaille dans la même entreprise depuis des années, on prend rarement le temps de se demander quelles sont nos compétences. Or, connaître ses savoir-faire est un levier indispensable pour avoir confiance en soi et se sentir bien dans son job. « En faisant un bilan de compétences, j’ai (re)découvert des points forts de ma personnalité et de mon parcours, auxquels je n’avais réfléchi, témoigne Corinne, responsable événementiel dans une institution. Ça m’a aidée à prendre confiance en moi et à assumer d’avoir une posture d’experte sur certains sujets. »
Retrouver du sens dans son quotidien professionnel
Depuis la crise du Covid, on est nombreux à se poser la question du sens de nos vies professionnelles – mon métier est-il essentiel ? en quoi contribue-t-il à la société ? – et à penser qu’on serait plus heureux en nous engageant au service d’une cause. Mais ne nous y trompons pas : nous ne sommes pas tous fait pour travailler dans l’humanitaire ou dans le social. La définition d’« un métier qui a du sens » est propre à chacun. Il faut surtout qu’il réponde à vos valeurs, à vos besoins, et vous apporte un sentiment d’utilité. Un bilan de compétences est justement l’occasion de faire le point sur vos attentes et vos motivations profondes. Prendre de la hauteur permet souvent de réaliser qu’on aime fondamentalement son métier, mais qu’il faut seulement faire des ajustements sur des aspects pratiques (cadre ou ambiance de travail, rythme, salaire…)
Trouver un meilleur équilibre vie professionnelle/vie personnelle
Quand on commence à avoir du mal à se lever le matin ou à compter les jours jusqu’aux vacances, on a tendance à penser qu’il faut changer de travail. En réalité, c’est parfois plus simple que ça. Même quand on adore son métier, on peut sentir de la frustration, un certain essoufflement si on n’a plus le temps pour rien d’autre et qu’on sombre dans la routine « métro-boulot-dodo ». Tout est une question d’équilibre entre les différentes sphères de sa vie. Les exercices d’introspection du bilan de compétences permettent de reprendre conscience de passions laissées de côté ou d’identifier des activités qui pourraient nourrir les besoins non comblés par notre poste actuel. Passer ces week-ends sur un projet personnel qui nous fait vibrer permet de retrouver un second souffle et de revenir au travail avec une énergie nouvelle.
Faire évoluer son poste
« Les salariés ont souvent peur de parler de leur envie de faire un bilan de compétences, explique Aude Lootvoet, responsable du centre de bilans et de gestion de compétences de Sup’Expertise. Ils craignent que leur manager interprète cette demande comme une envie de quitter l’entreprise. Alors qu’au contraire, cela peut être un projet gagnant-gagnant. » Bien souvent, l’employeur accueille avec enthousiasme un collaborateur qui fait preuve de curiosité et démontre son envie de progresser. Variante du bilan de compétences, le bilan professionnel est d’ailleurs l’occasion pour un salarié de l’impliquer dans la démarche : « dans ce cas, le bilan est financé par l’entreprise. Le manager prend part à un entretien préalable pour poser les attentes et objectifs du bilan, ainsi qu’au dernier rendez-vous de synthèse, précise Aude Lootvoet. C’est une bonne façon d’ouvrir une nouvelle page de la collaboration. »
Identifier une formation
La dernière étape d’un bilan de compétences, c’est de définir un projet professionnel réaliste et réalisable ainsi qu’un plan d’actions. On peut ainsi identifier une formation, même de courte durée, qui peut permettre de faire évoluer son poste dans un sens qui nous attire. « Parfois, complète Aude Lootvoet, on arrive à la conclusion qu’il n’y a pas besoin de formation supplémentaire, mais qu’il suffit simplement de faire reconnaître officiellement les compétences acquises au fil des années. Dans ce cas, la VAE est une excellente formule. »
Vous hésitez encore à vous lancer ? Vous ne savez pas quelle formule correspondrait le mieux à vos besoins, entre le bilan de compétences, le bilan professionnel et la VAE ? Prenez rendez-vous avec l’un de nos conseillers : lors d’un premier entretien entièrement gratuit, ils vous aideront à y voir plus clair et à identifier la réponse la plus adaptée à votre cas.
Les métiers de l’expertise comptable font leur révolution !
Les métiers de l’expertise comptable font leur révolution !
Les clichés ont la peau dure et on représente encore trop souvent les experts-comptables comme des hommes en costume gris (qui a dit « ringard » ?), cachés derrière des grosses lunettes et des piles de dossiers, une calculatrice toujours à la main. Mais la révolution numérique est passée par là. Alors oubliez tout ce que vous croyez savoir sur la profession : les experts-comptables n’ont pas fini de vous surprendre !
Comment le numérique a radicalement transformé les métiers du chiffre
Autrefois, c’est vrai, les experts-comptables passaient beaucoup de temps à classer et saisir des tonnes de données, des factures, des déclarations de TVA… Les clients débarquaient avec leurs centaines de notes de frais dans des boîtes à chaussures, il fallait tout trier, remplir des kilomètres de tableaux Excel… Mais tout ça, c’est fini ! Grâce aux outils numériques et aux applications, une grosse partie des missions les plus chronophages et répétitives est désormais automatisée. L’intelligence artificielle permet de reconnaître les différents types de flux, d’affecter les dépenses au bon endroit, d’avoir en temps réel une vision des comptes et des prévisionnels. Quel temps gagné !
Les attentes de clients ont aussi évolué
Plus autonomes grâce aux applications, les clients attendent désormais de leur expert-comptable une valeur ajoutée, un vrai rôle de conseil pour les aider à analyser les chiffres et à faire les bons choix stratégiques. Comme un médecin généraliste, l’expert-comptable aide les entrepreneurs à optimiser la santé et la performance de l’entreprise, et ce sur tous les plans, fiscal, social, RH, patrimonial… Les missions évoluent : libérés de la saisie et de la compta pure, les professionnels développent petit à petit d’autres domaines de compétences : la gestion de patrimoine, la direction financière, l’accompagnement à la digitalisation des entreprises (puisque le numérique a transformé le quotidien des experts-comptables, ils sont bien placés pour expliquer à leurs clients comment passer eux-aussi au numérique), la transmission d’entreprise, l’assistance administrative, ou même le conseil RH… L’expert-comptable est le premier conseil du chef d’entreprise, celui que les dirigeants appellent avant de prendre une grande décision.
Des métiers résolument tournés vers l’avenir
Et ce n’est pas fini : puisque le rôle des experts-comptables est d’accompagner les entreprises, ils s’adaptent en permanence aux évolutions de celles-ci.
Ils deviendront ainsi demain :
– « des crypto-comptables », pour gérer les flux de cryptomonnaies et de NFT, et devenir les experts de la comptabilité des métavers,
– des experts en data analyse, pour aider leurs clients à traiter les flux exponentiels de données,
– des experts en transition écologique, pour répondre aux obligations de bilan carbone et autres normes de comptabilités extra-financières qui s’imposent de plus en plus aux grandes organisations.
Et plein d’autres métiers encore à inventer !
D’où la nécessité de révolutionner aussi la formation
Face à ces nouveaux défis, on comprend aisément que les études de comptabilité ne peuvent plus être les mêmes qu’il y a 20 ans. En tant qu’école de l’Ordre des experts-comptables Paris Ile-de-France et des Compagnies régionales de commissaires aux comptes de Paris, Versailles et du Centre, Sup’Expertise bénéfice d’un regard prospectif privilégié (autrement dit, d’une longueur d’avance !) sur ces évolutions. Epaulée par un comité scientifique composé de professionnels reconnus, l’équipe pédagogique développe donc des modules de formation complémentaires qui viennent enrichir les diplômes de référence de la profession. Le DCG devient ainsi le Bachelor Expertise Comptable et Conseil, le DSCG le Mastère Expertise comptable Audit et Conseil.
Objectif : préparer nos étudiants à la réalité des enjeux d’aujourd’hui et demain, pas à ceux d’avant-hier 😉
Pour en savoir plus sur nos formations et notre approche (…)
Zoom sur les métiers de l’audit et du conseil
En France, les métiers de l’audit et du conseil sont regroupés dans quatre domaines principaux : le conseil en stratégie, la finance, l’audit légal, le management et les ressources humaines. De Bac + 2 à Bac + 5, les étudiants titulaires des diplômes proposés par Sup’Expertise ont ainsi la possibilité de s’orienter vers des métiers porteurs très divers, en fonction de leurs compétences, préférences et projets de carrière. Dans cet article, nous vous proposons de faire le tour (non exhaustif) des métiers de l’audit et du conseil, pour vous donner une idée de l’étendue des postes envisageables à l’issue de votre formation.
Les métiers de l’audit et du conseil : quelques chiffres
Vous vous intéressez aux métiers de l’audit et du conseil ? La porte est grande ouverte…
Regardez plutôt :
Exemples de métiers du conseil en stratégie
Consultant
Niveau : diplôme d’école de commerce ou école d’ingénieur
Fin stratège et expert, le consultant doit proposer des solutions permettant d’optimiser le fonctionnement de l’entreprise, à travers divers domaines dont les RH, la relation client, les systèmes d’information, etc.
Auditeur externe
Niveau : Bac + 5, DSCG, Master comptabilité-contrôle-audit
Salarié d’un cabinet d’audit, l’auditeur externe est chargé d’intervenir ponctuellement dans les entreprises clientes. Son rôle est de contrôler leurs comptes et informations financières.
Consultant en conduite du changement
Niveau : diplôme d’école de commerce ou école d’ingénieur
Le consultant en conduite du changement intervient dans le cadre, par exemple, d’une réorganisation des services d’une entreprise. Il diagnostique les insuffisances et propose des solutions pour y remédier.
Exemples de métiers de la finance
Contrôleur de gestion
Niveau : DSCG (diplôme supérieur de comptabilité et de gestion), diplôme d’école de commerce ou d’ingénieur, master comptabilité-contrôle-audit
L’objectif principal du contrôleur de gestion, quelle que soit la nature de l’entreprise qui l’emploie, est de maximiser la performance. Des indicateurs de performance au suivi du budget, il est maître des outils de pilotage de l’entreprise.
Auditeur financier
Niveau : DSCG, DEC, Master comptabilité-contrôle-audit ou contrôle de gestion
L’auditeur financier a pour mission de contrôler la conformité, la véracité et la régularité des comptes en fonction des réglementations, normes et lois en vigueur. Il fait généralement partie d’un cabinet d’audit.
Comptable
Niveau : Bac + 2 (BTS Comptabilité et Gestion) ou Bac + 3 (BUT Gestion des entreprises et des administrations), DCG (Diplôme de Comptabilité et Gestion)
En entreprise, le comptable est chargé d’enregistrer les dépenses, les recettes et les investissements de l’entreprise. En analysant la comptabilité analytique, il peut, par exemple, étudier les coûts de revient et le chiffre d’affaires par produit.
Expert-comptable
Niveau : de bac + 3 à bac + 8, ex : DCG ; DSCG ; DEC)
La principale caractéristique de la profession d’expert-comptable est le conseil aux entreprises. Son expertise fiscale, juridique et financière est valorisée, au même titre que son aisance avec les chiffres et la comptabilité. À ce titre, les experts-comptables sont souvent considérés comme les bras droits des dirigeants.
Exemples de métiers de l’audit légal
Commissaire aux comptes
Niveau : DEC + stage de 3 ans incluant 2 ans minimum chez un commissaire aux comptes ; Master ou diplôme d’école de commerce ou d’ingénieur + certificat préparatoire (CP) + expérience de 3 ans dans l’audit ou la comptabilité + Cafcac
Observateur indépendant, le commissaire aux comptes vérifie que les comptes de l’entreprise reflètent les opérations effectuées pendant l’année et qu’elles sont conformes aux réglementations comptables en vigueur.
Administrateur judiciaire
Niveau : Bac + 4 ; DSCG ; DEC + stage professionnel de 3 ans + examen d’aptitude
Le mandataire judiciaire représente les créanciers de l’entreprise, donc les salariés, le Trésor public, les fournisseurs, etc. Il intervient par exemple dans le cadre de la revente de l’entreprise, en vue de rembourser ses dettes avant clôture définitive de l’activité.
Zoom sur le métier de Chargé de Ressources humaines
Experts-comptables et commissaires aux comptes : développez de nouvelles missions grâce aux formations certifiantes ou diplômantes
Une récompense pour Sup’Expertise au Palmarès du Chiffre 2022
On parle de nous dans les médias : le centre de bilan et de gestion des compétences
Le centre de bilan et de gestion des compétences de Sup’Expertise dans Madame Figaro
Juin 2022
Retrouvez, sur le site de Madame Figaro rubrique : les adresses incontournables, l’article.
Mener à bien son projet professionnel avec le centre de bilans et de gestion des compétences de Sup’Expertise
On vous y explique le savoir faire de Sup’Expertise ainsi que toutes les possibilités d’accompagnement en fonction de votre besoin.
Retrouvez l’intégralité de l’article en cliquant ici
Bilan de compétences VS Bilan professionnel : quelles différences ?
Bilan professionnel VS bilan de compétences, les différences majeures
Le bilan de compétences est un accompagnement bipartite entre un bénéficiaire et un consultant.
Le bilan professionnel, également appelé bilan de carrière est un accompagnement tripartite entre un bénéficiaire, son employeur et un consultant.
Les objectifs de la démarche
Le bilan professionnel répond à une problématique de mobilité interne. Le collaborateur souhaite évoluer et l’entreprise souhaite conserver son collaborateur. Le bilan professionnel est un bon moyen pour l’entreprise d’éviter la fuite de ses talents.
Au terme de l’accompagnement, l’objectif est d’aboutir à des pistes de mobilité interne réalistes à court ou moyen terme, en confrontant les attentes et aspirations du collaborateur avec les postes à pourvoir en interne.
Le bilan de compétences, lui, répond davantage à un questionnement du collaborateur, indépendamment de son employeur :
- évolution en interne ou en externe
- projet de reconversion
- repositionnement sur le marché de l’emploi
- etc
Il peut toutefois arriver que l’employeur ait insufflé la démarche, cependant il n’est pas partie prenante de l’accompagnement.
Et concrètement ?
Le bilan de compétences est beaucoup plus formaté que le bilan professionnel, beaucoup plus cadré, légalement parlant. L’intégralité des échanges qui ont lieu au cours d’un bilan de compétences sont réalisés en binôme : bénéficiaire/consultant.
Dans le cadre d’un bilan professionnel, l’entreprise représentée par le manager et/ou un RRH participe généralement à trois rencontres :
- Au début du parcours : pour identifier finement les objectifs de l’accompagnement (objectifs visés par le collaborateur vs objectifs visés par l’entreprise).
- En milieu de parcours : pour identifier les premières pistes soulevées par le collaborateur et les confronter avec les opportunités réelles / identifier le cas échéant les actions à mettre en œuvre (projet de formation, entretiens exploratoires au sein d’autres services ou pôles de l’entreprise, etc.)
- En fin de parcours : pour partager de vive voix les conclusions de l’accompagnement ainsi que les démarches à entreprendre et les modalités d’accompagnement de l’entreprise vers la réalisation du projet ciblé.
La confidentialité des échanges
Un bilan de compétences est soumis à une clause de confidentialité qui doit être strictement respectée. Seul le collaborateur peut décider de partager tout ou partie des réflexions de son bilan, même dans le cas où l’entreprise aurait financé la démarche.
Le bilan professionnel ne comporte pas de clause de confidentialité. L’entreprise étant partie prenante de la démarche, un ou plusieurs de ses représentants (manager, RRH…) accède nécessairement à des éléments émanant du bilan :
- pistes de réflexion,
- aspirations du collaborateur,
- portefeuille de compétences,
- souhaits de formation, etc.
Le financement de la démarche
Le bilan professionnel est financé par l’entreprise via le plan de développement des compétences.
Le bilan de compétences peut également être financé via le plan de développement des compétences, mais aussi par le CPF.
Rencontre avec Julien MIMOUNI, étudiant en LP MSRH à Sup’Expertise
Bonjour, pourrais-tu te présenter et expliquer ton parcours scolaire jusqu’à la Licence Pro Management et Stratégie des RH?
Je m’appelle Julien, j’ai 20 ans et j’habite à Gagny. J’ai commencé par un Baccalauréat STMG option Gestion et Finance pendant lequel j’ai pu acquérir mes premières bases en management et en droit, puis je me suis orienté vers un BTS Management Commercial Opérationnel durant lequel j’ai continué d’approfondir mes connaissances dans un domaine plus centré sur le management d’équipe. Pendant ce cursus, j’ai découvert un réel intérêt pour les Ressources Humaines qui pour moi sont le cœur de la performance d’une organisation.
Actuellement, je prépare en alternance une Licence Management et Stratégie des Ressources Humaines chez Sup’Expertise au sein de l’entreprise Star Service en tant qu’Assistant Ressources Humaines.
Chargé de l’administration du personnel, je suis quotidiennement au contact des collaborateurs afin de prendre en charge les problèmes administratifs. Je m’occupe également de l’intégration des collaborateurs, une phase du recrutement très importante à ne pas négliger.”
Pourquoi as-tu choisi de suivre la formation LP MSRH ?
Pour sa généralité dans la mesure où je ne souhaitais pas me spécialiser dans un domaine particulier du secteur des RH, n’ayant pas encore d’idée de ce que je voulais faire concrètement. La LPMSRH permet de mélanger théorie et pratique, ce qui la rend très complète.
La pluralité du corps enseignant, composé de professeurs de grandes Universités, de professionnels et de chefs d’entreprises a également été un élément motivant mon choix.
J’ai apprécié que ce diplôme soit en partenariat avec l’Université Gustave Eiffel, ce qui en fait un diplôme universitaire reconnu par l’État !
Pour quelles raisons as-tu choisi de faire ta formation en alternance ?
L’alternance est pour moi un moyen efficace d’intégrer le marché du travail rapidement.
Le petit + est que si l’entreprise te trouve compétent, ça peut déboucher sur un CDI directement après ton alternance 😉
Quel est ton projet professionnel ?
Je souhaite continuer de développer mes connaissances et mes compétences en préparant un Master en Sciences Sociales option Ingénierie des Ressources Humaines en alternance au sein de Sup’Expertise.
Pourquoi choisir Sup’Expertise ?
Les équipes de l’école mettent les étudiants dans les meilleures conditions possibles afin qu’ils réussissent leurs diplômes. Il y a un suivi pour s’assurer que tout au long du cursus scolaire tout se passe bien.
Les formateurs et les conseillers mettent tout en œuvres afin que les élèves soient opérationnels pour intégrer le marché du travail.
Sup’Expertise c’est une école tournée vers l’humain !
Quels conseils pourrais-tu donner aux étudiants souhaitant débuter cette formation ?
Il y en aurait deux : si vous aimez travailler en équipe, cette formation est faite pour vous ! et soyez curieux ! Il ne faut jamais avoir peur de poser des questions.
Plusieurs projets en groupe sont mis en place permettant de créer un esprit de groupe, de développer les liens entre les élèves de la classe et pour un objectif commun.
N’hésitez pas à poser des questions aux membres de l’école, ils sont à votre écoute !
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