Le DCG est-il difficile ? Retour d’expérience et 10 conseils pour réussir

Difficulté du DCG : retour d’expérience et 10 clés pour réussir
Étudiant en 2e année, Augustin explique la difficulté du DCG et partage 10 clés concrètes pour réussir du premier coup. Conseils, épreuves difficiles, méthodes.
1. Rythme de travail régulier : votre atout face à la difficulté du DCG pour réussir du premier coup
Le DCG demande un vrai changement de rythme. « Il y a beaucoup de choses à maîtriser pour les épreuves de fin d’année, explique Augustin. Si on attend la dernière minute, ça devient vite ingérable. »
Commencer à réviser dès le début de l’année permet de répartir la charge de travail et d’éviter l’accumulation.
« Même en alternance, ce n’est pas impossible. Une petite heure chaque soir pour relire ses cours, faire les exercices conseillés… ça change tout. »
👉 La régularité vaut mieux qu’un sprint de dernière minute : c’est la clé pour rester à flot toute l’année.
2. Maîtriser la difficulté du DCG : misez sur les annales pour cibler les épreuves les plus difficiles
Pour Augustin, pas de mystère : « Faire les annales, c’est le meilleur moyen de s’entraîner. » Cela permet non seulement de se familiariser avec la structure des sujets, mais aussi de s’évaluer en conditions réelles et de repérer les points à retravailler.
Bonne nouvelle : de nombreuses annales sont disponibles en ligne gratuitement. « Il faut toutefois être prudent en droit, car les textes évoluent régulièrement. Mieux vaut se concentrer sur les sujets récents. »
Chez Sup’Expertise, des épreuves de DCG blanc sont proposées en décembre et en mars. Augustin recommande de s’appuyer sur ces échéances pour calibrer ses révisions et faire les annales correspondantes juste avant.
À SAVOIR : QUEL EST LE NIVEAU REQUIS POUR LE DCG ?
Diplôme de grade licence, le DCG est un diplôme d’État qui permet d’acquérir les connaissances fondamentales dans les domaines de la comptabilité et de la finance d’entreprise, ainsi qu’en management, droit, économie et gestion. Il n’est pas nécessaire d’avoir fait de la comptabilité au lycée, mais un bac général à dominante économique ou mathématique ou un bac technologique STMG est recommandé. Ce qui compte surtout, c’est d’être prêt à fournir un travail régulier et d’être curieux, rigoureux… et bien accompagné.
3. Misez sur l’entraide et le partage pour progresser en DCG
Le DCG demande de la rigueur, mais cela ne veut pas dire que vous devez tout affronter seul. Créer une dynamique d’entraide avec vos camarades est l’un des meilleurs moyens de progresser tout au long de l’année. Échanger des fiches, se retrouver pour retravailler ensemble des notions moins bien comprises, poser des questions… : ces petits réflexes font souvent une grande différence.
Chez Sup’Expertise, cette solidarité entre étudiants est largement favorisée. Les effectifs réduits permettent à chacun de trouver facilement sa place, et les enseignants encouragent activement la coopération plutôt que la compétition.
Le cadre aussi joue un rôle clé. Augustin témoigne : « Le Campus de Sup’Expertise est très agréable, moderne, très lumineux. On s’y sent vraiment bien. On peut facilement s’installer dans le patio ou sur le rooftop pour boire un café tout en échangeant sur nos révisions. »
Découvrir en photo le Campus de Sup’Expertise
👉 Ne négligez pas la force du collectif : réviser à plusieurs, c’est souvent plus stimulant, plus motivant… et plus efficace.
4. Exploitez les outils numériques pour renforcer vos acquis
Varier les formats d’apprentissage, c’est une bonne façon de rester motivé dans la durée et c’est parfois tout ce qu’il faut pour débloquer une notion. C’est pourquoi, Sup’Expertise met à la disposition de ses étudiants deux plateformes de e-learning, en complément des cours en présentiel : eDCG+ et les Geeks des Chiffres.
« Je m’en sers pour revoir certains points de détail, tester mes connaissances ou compléter ce qu’on a vu en classe. Les QCM notamment permettent de réviser autrement, de façon un peu plus ludique et stimulante. »
Découvrez tous les outils digitaux que Sup’Expertise met à votre disposition.
5. Profitez de l’accompagnement : à Sup’Expertise, l’équipe pédagogique est là pour vous
Quand les difficultés s’accumulent, le pire réflexe serait de rester seul face à ses blocages. L’un des conseils d’Augustin : ne pas hésiter à parler aux enseignants.
« Il ne faut surtout pas avoir peur de demander de l’aide. L’équipe pédagogique de Sup’Expertise est vraiment à l’écoute. A l’issue des conseils de classe, nous sommes reçus individuellement pour faire le point sur nos difficultés éventuelles. Les profs prennent du temps pour nous donner des conseils personnalisés, ils veillent à ce que personne ne reste au bord du chemin. »
👉 Être entouré fait toute la différence : vous n’êtes jamais seul face aux difficultés.
6. Tirez parti de l’expérience terrain : alternance ou stage, un vrai plus pour progresser
Que vous soyez en alternance ou en formation initiale, l’immersion professionnelle est un atout précieux pour consolider vos acquis. Rien de tel que le terrain pour donner du sens aux notions vues en cours, s’approprier le vocabulaire technique et comprendre comment tout cela s’articule dans la pratique.
« Même si le reste est soutenu, l’alternance m’aide vraiment à ancrer ce que j’apprends, confie Augustin. On fait le lien avec le quotidien du cabinet, et ça devient plus concret. Je me sens plus à l’aise pour comprendre les notions et prendre confiance. »
Du côté des étudiants en formation initiale continue, Sup’Expertise propose un stage de trois mois en fin de première année, qui joue exactement le même rôle : mettre un pied dans la réalité du métier et commencer à expérimenter.
7. Soignez votre orthographe : un indispensable en DCG comme en entreprise
Dans une formation comme le DCG, l’orthographe n’est pas un détail. Elle compte dans la notation, et peut faire perdre des points, même quand le fond est bon. C’est aussi une compétence essentielle dans le monde professionnel, où un mail mal rédigé ou une faute dans un livrable peuvent entamer votre crédibilité.
Pour aider les étudiants à progresser sur ce point, Sup’Expertise propose un accompagnement dédié via la plateforme Projet Voltaire, intégrée dans le cadre du DCG augmenté.
« Grâce à cet outil, j’ai appris à repérer mes erreurs et à améliorer ma manière d’écrire », confie Augustin.
8. Aménagez des pauses pour tenir dans la durée
Entre les cours, les devoirs et, pour les alternants, les journées en entreprise, le rythme du DCG peut vite devenir intense. Il est donc essentiel de prévoir des moments de pause pour rester efficace et motivé dans la durée.
« Je conseille de se programmer un week-end prolongé à l’automne, confie Augustin. Comme il n’y a pas de vraies vacances entre septembre et décembre, même trois jours sans penser au DCG, ça permet de souffler. »
Autre astuce : anticiper ses révisions pour se ménager une vraie coupure pendant les vacances de Noël. « À partir de janvier, c’est plus compliqué, surtout en alternance, entre la période fiscale au cabinet et la préparation des examens. »
9. Relativisez : le DCG se construit sur trois ans, pas en trois mois
Bonne nouvelle : le DCG laisse le temps de progresser à son rythme. Contrairement à d’autres diplômes, aucune note n’est éliminatoire et il n’est pas nécessaire d’avoir validé tous ses UE pour passer à l’année suivante. Les années se compensent entre elles, ce qui permet de lisser les résultats dans la durée.
« Ce que j’ai trouvé bien, c’est qu’on n’a pas besoin de réussir parfaitement sa première année pour avancer, explique Augustin. Ça laisse le temps de trouver son rythme, de s’habituer aux matières, de comprendre comment s’organiser. Au début, on tâtonne un peu, mais c’est normal.»
👉L’un des atouts du DCG est qu’il se construit dans la durée. Vous avez 3 ans pour réussir !
10. Gardez en tête vos objectifs… et adoptez une posture professionnelle
Le DCG demande de l’engagement, mais il ouvre la voie à de belles perspectives professionnelles : expertise comptable, audit, finance, gestion… Pour tenir le cap sur la durée, il est essentiel de se rappeler pourquoi vous avez choisi cette voie.
« Ce qui m’aide, c’est de me projeter, confie Augustin. Je sais que le DCG ouvre la voie à des métiers passionnants et porteurs de sens. Même quand c’est dur, je me dis que c’est un investissement pour la suite. »
Dès la première année, les enseignants vous considèrent comme des futurs professionnels : « On n’est pas contrôlés sur les devoirs, c’est à chacun de se responsabiliser pour faire les exercices conseillés et travailler sérieusement », explique Augustin.
Cette confiance favorise une posture plus mature, plus autonome, qui vous servira autant dans vos études que dans votre future vie pro. Et c’est aussi ce qui rend ce parcours formateur… bien au-delà des examens.
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