On parle de nous dans les médias : interview de Aude Lootvoet, responsable du Centre de bilans et gestion des compétences dans le magazine Emile By Sciences Po alumni

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Interview Sup’Expertise pour Sciences Po Alumni

Accompagnement professionnel : LE BILAN PROFESSIONNEL : « UNE DÉMARCHE GAGNANT-GAGNANT »

Chaque année, elle aide des dizaines de personnes à faire le point.
Le point sur leur carrière, mais aussi sur leurs valeurs et leurs aspirations. À une époque où la quête de sens anime de plus en plus de salariés, Aude Lootvoet, psychologue de formation, offre des clés pour renouer avec la motivation. Objectif : éviter à tout prix le burn out !

Quel est l’intérêt de faire un bilan professionnel ?

C’est une démarche gagnant-gagnant. Le bilan professionnel facilite une plus grande mobilité en interne pour le salarié et pour l’entreprise. Il permet de garder ses talents motivés en leur permettant d’évoluer vers des postes en accord avec leurs aspirations et compétences. Quelle différence entre le bilan professionnel et le bilan de compétences ?
Le bilan professionnel est tripartite, il implique le salarié, l’entreprise et le consultant. Le bilan de compétences offre, lui, une stricte confidentialité entre le salarié et le consultant.

La pandémie a-t-elle changé la donne dans votre métier ?

Complètement. On a basculé dans une digitalisation de l’accompagnement. Sur le fond aussi, ça évolue. De plus en plus de salariés se questionnent sur le sens de leur travail, ils cherchent à être plus alignés avec leurs aspirations et visent un meilleur équilibre entre travail et vie personnelle. Nos clients sont plus jeunes, certains le font dès le début de leur carrière. Avant, c’était surtout à partir de 40 ou 45 ans. Désormais, être en phase avec ses attentes, les conditions de travail et l’engagement RSE de l’entreprise, cela compte de plus en plus pour les salariés.

« CEUX QUI SE LANCENT DANS UN BILAN PROFESSIONNEL SONT DE PLUS EN PLUS JEUNES, CERTAINS LE FONT DÈS LE DÉBUT DE LEUR CARRIÈRE ! »

Qu’est-ce qu’un bon consultant en bilan ?

C’est d’abord quelqu’un qui a une formation solide aux techniques de l’entretien et une bonne connaissance du cadre légal. Il faut savoir que le titre « consultant en bilan » n’est pas protégé.
Une bonne expertise du monde de la formation et du milieu professionnel dans lequel évolue le salarié sont aussi indispensables. Cela demande une veille constante. Enfin, un bon consultant se
connaît bien et adopte une démarche en accord avec lui-même. Certains consultants ont la même approche avec tous leurs clients, alors qu’il y a de très nombreuses façons de procéder et qu’elle doit être personnalisée.

Comment faites-vous chez Sup’Expertise pour trouver la bonne démarche ?
Lors du premier entretien, on identifie avec le salarié les objectifs. Celui-ci va rencontrer au moins deux consultants pour faire son choix. Parmi nos sept consultants, il y a des psychologues, des coachs certifiés et des personnes issues des ressources humaines. Choisir son conseiller permet d’instaurer une vraie relation de confiance.

Comment se déroule un bilan ?

Un bilan, c’est 24 heures d’accompagnement sur trois à quatre mois, dont 18 heures d’entretien et six heures de travail personnel (mener des enquêtes métier, participer à des salons…). La plupart de nos concurrents proposent entre 10 et 14 heures d’entretien. Après une phase initiale de formalisation des objectifs, on identifie ensemble les étapes pour y parvenir, souvent avec un rétro- planning à la clé. Six mois après le bilan, place à un entretien pour parler de la mise en œuvre du plan d’action. Très souvent, je reste en contact même au-delà. Depuis 30 ans, Sup’Expertise a  accompagné des milliers de salariés issus de tous les secteurs vers plus d’épanouissement professionnel !

Mais Sup’Expertise, c’est plus que cela. Parlez-nous-en…

Nous proposons aussi un accompagnement à la validation d’acquis – principalement dans le domaine de la comptabilité – et des formations dans les métiers de la comptabilité et des ressources humaines (de niveau bac +2 à bac +5) en initiale et en alternance (possibilité pour les entreprises franciliennes de recruter des apprentis sur nos différentes filières). Nous sommes partenaires de l’Ordre des experts-comptables d’Île-de-France et de la Compagnie régionale des commissaires aux comptes. ■

Pour tous renseignements complémentaires, contactez Francelise SAINT AIME : f.saintaime@supexpertise.fr01 44 69 92 03

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